Lorsque nous parlons de musiciens de studio et d’artistes non crédités, nous faisons référence aux qui d’un instrument, chantent ou contribuent d’une autre manière à un . Généralement, des musiciens de studio et des artistes non crédités sont engagés pour jouer sur un enregistrement sonore.
Consultez notre page intitulée Artiste pour en savoir plus sur ces rôles.
Ils sont souvent recrutés par le , la , le cas échéant, ou parfois l’ ou le studio d’enregistrement pour participer à un ou plusieurs enregistrements sonores.
Quels sont les droits d’un musicien de studio?
Les peuvent varier en fonction de l’accord conclu avec le , du pays dans lequel l’enregistrement a lieu et de la législation applicable. Ils peuvent également varier en fonction des accords conclus avec les maisons de disques, qui fixent les conditions des frais de session et des potentielles.
Les musiciens de studio et les artistes non crédités reçoivent généralement un pour leur contribution à une interprétation ou exécution sur un enregistrement sonore. C’est ce que l’on appelle un contrat de . Pour plus d’informations, voir la page consacrée au contrat de louage. Dans le cadre de certains contrats, les musiciens de studio et les artistes non crédités peuvent également recevoir un partage de sur l’enregistrement sonore.
Si vous êtes un musicien de studio et que vous n’êtes pas sûr de pouvoir bénéficier de droits ou de redevances dans votre pays, renseignez-vous auprès de votre locale.
Les musiciens de studio peuvent parfois contribuer à une ou à un enregistrement sonore d’une autre manière. Supposons par exemple que vous soyez un musicien embauché qui crée et interprète une ligne de basse originale. Dans ce cas, vous pouvez également être reconnu comme et donc bénéficier d’un partage des droits de propriété (ou ) sur l’œuvre musicale et le . Cela fait systématiquement l’objet d’une négociation entre vous et les autres auteurs-compositeurs.
Consultez notre page consacrée aux parts sur un enregistrement sonore pour en savoir plus sur les parts de droits de propriété et de redevances.
Crédit photo : Martin Dam Kristensen