Les qui créent et diffusent des sans l’aide d’une sont considérés comme des artistes auto-produits.
Si c’est votre cas, vous pouvez détenir les sur les enregistrements sonores et éventuellement tous les (sauf, bien sûr, si vous avez collaboré avec d’autres personnes et négocié des avec elles). Consultez notre page consacrée aux parts sur un enregistrement sonore.
Si vous enregistrez une œuvre musicale écrite par quelqu’un d’autre, qu’il s’agisse d’une ou , il est important de comprendre les différents protégés par la sur le droit d’auteur et la manière dont ils s’appliquent aux s’appliquent aux et aux enregistrements sonores.
Ce que vous devez faire en cas d’autoproduction
Si vous êtes un artiste indépendant, vous êtes responsable de la de vos enregistrements sonores et de la perception de vos et autres revenus. Cela signifie qu’il vous incombe de vos œuvres musicales auprès d’une et de vous assurer que vous percevez tous les revenus qui vous sont dus.
Cela signifie également que vous devez prendre en charge toutes les actions qu’une maison de disques pourrait entreprendre pour ses afin de monétiser les enregistrements sonores.
Il s’agit notamment :
D’accompagner le processus d’enregistrement
Fabrication et distribution de formats physiques et numériques aux détaillants physiques et aux
De déposer les nouveaux enregistrements sonores auprès des OCM
pour des enregistrements sonores en vue d’un large éventail d’utilisations, y compris la diffusion numérique en continu, les ventes par téléchargement, les films, les émissions télévisées et les publicités.
D’assurer la promotion de vos enregistrements sonores, de faire votre propre marketing et de développer votre carrière
Les artistes auto-produits devront collaborer avec un ou un pour que leurs œuvres apparaissent sur de nombreuses plateformes de diffusion en continu. Toutefois, certains FSN permettent aux utilisateurs de télécharger directement leurs enregistrements sonores.
Pour plus d’informations, consultez notre page consacrée aux distributeurs.
Crédit photo : Martin Fabricius Rasmussen